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The words can do everything

Dimanche 13 février 2011 à 20:24

I hoped you'll never be back, but I were wrong... And you're here, in front of my dreams... No one to repel you, I've no more the energy, but I'm going to rock you, and you'll see who I am. Up is down and no one to do it, up is down but I'll do it. Shadows in my eyes and the hope in my heart, I'm going to show you who we were, the fourth is here. Leave this place and run away, leave this place and leave my way.

Light is back and so are you, light is back and it will push you away.

Lundi 7 février 2011 à 18:13

Ne te trompe pas, Petite Baleine : la vie n'est pas cette eau claire et amicale. Partout, où que tu ailles, le feu te retrouvera. Partout, où que tu nages, les nuages finiront par rattraper ton soleil. Partout, où que tu ailles, tu finiras par commettre une erreur. Et tout gâcher.
Ne te trompe pas, Petite Baleine : tu as fait une nouvelle fois une erreur. Deux erreurs en quelques mois. Tu as pu nous échapper, mais tu viens de briser tes propres défenses. Tu as beau courir et essayer de vivre, on finit toujours par te retrouver.
On a ta trace. Nager à en perdre le souflle. On a ta trace.
L'apogée n'est plus, tu as commis une erreur. Tu as perdu ton royaume, et tout ça juste parce que tu pensais pouvoir te battre sur deux fronts. Tu as perdu, Petite Baleine. Tu as perdu, tout perdu.

La vie n'est que cycles, mais ces cycles là étaient les deux plus beaux. Nage à en perdre le souffle, tu les as perdu.

Mardi 4 janvier 2011 à 16:38

Toute histoire commence et se construit sur des mots. Pourtant, les mots ne sont ni émotions, ni expérience de vie. Mais ils les expriment.
Il était donc un fois deux personnes. Pas de pouvoirs spéciaux, ni épopée de légende. Pourtant l'Amour n'est autre qu'une aventure, et c'est le pouvoir le plus puissant qu'il puisse exister. Les deux personnages se rencontrèrent donc, dans un lointain pays. Un prince et une princesse au pays du soleil. Le Temps et les Mots sont puissants. L'Amour naquit de leurs regards et de leurs sourires, communion invisible et pourtant présente. Leur Amour dura, mais ce n'était pas leur destin de vivre le parfait amour du premier coup. Le second non plus. Cependant, le prince savait qu'il n'y avait autre femme plus belle et plus parfaite que cette princesse, dont l'amour qu'il avait pour elle transperçait son cœur comme une flèche incandescente. Cet amour était là. L'histoire ne vous raconte pas encore la suite. Les histoires appartiennent aux personnages qui les vivent.

Qu'est ce que l'Amour sinon le pouvoir invisible qui lie les gens ? Je ne sais encore si la princesse pardonnera le péché deux fois commis. Cependant, qu'est que l'Amour sinon le pardon au nom de ce lien inaltérable entre deux êtres ? Il y eut des princesses douces et attentionnées. Il y eut des princesses qui attendirent leur prince durant cent ans, paisible sommeil. Certaines, protégées d'un cercueil de verre, attendaient inlassablement ce baiser tant désiré. Tant voulu. Des rêves bleus et des roses de vie.

Ceci n'est pas mon histoire, c'est celle de deux personnages, dont chacun d'eux attend une réponse. Toute histoire a une fin, mais celle-ci doit-elle réellement se terminer en ces jours ? Les personnages font face aux obstacles que sont le doute et l'inconnu. Mais peut être que ce crépuscule n'est autre qu'une aurore qui veille. L'aube aux cheveux d'or d'une histoire immortelle. Aujourd'hui, le prince est là. Les blessures sont des leçons et les cicatrices des souvenirs. La princesse est désormais seule maîtresse de ce cœur d'étoile. Toute histoire commence et se construit sur des mots. Puisse-t-elle avoir paix et Amour, de cet Amour éternel et pur, aujourd'hui promesse d'un avenir, réponse attendue.

Ceci n'est pas mon histoire. Les histoires appartiennent à ceux qui les vivent. Le prince et la princesse vivront-ils leur bonheur attendu ? La réponse unique se trouve en le seul maître de leur destin.
L'Amour.

Dimanche 2 janvier 2011 à 10:24

Les cendres d’un passé heureux.
Autres temps et autres mœurs, quatre rois et reines en leurs pays. Le sourire et la lueur dans leurs yeux, les joies et les rires partagés dans une période de cristal. Ensemble à la vie à la mort, telle était la devise des quatre dont tout le monde croyait en leur vertu. Ils étaient quatre et quatre ans de bonheur immortel, les liens fraternels dans les regards complices et la chaleur d’une amitié luttant dans le froid.
Cependant, la réalité reprit le dessus sur ce rêve étrange et paisible ; les quatre n’avaient pas ce destin auquel ils croyaient avoir droit. Les quatre furent donc séparés, et, leur bonheur étant dans la proximité, la lumière disparut jour après jour.
Depuis l’obscurité des ténèbres dans lesquels nous étions plongés, l’espoir seul brillait encore dans nos cœurs. L’espoir animait nos gestes et nos pensées. Des quatre l’une d’entre d’eux décida de lutter au nom de ce mot magnifique qu’est l’amitié. Elle décida de prendre les armes et de repousser, seule s’il le fallait, cette glace qui nous avait pris dans ses filets de solitude.
Au flambeau de nouveau levé, les trois autres se joignirent. Et là, l’Espoir avait triomphé, pour quelques heures de ce passé qui renaissait. Tout était comme avant. Nous étions heureux. Je voyais dans ses yeux que ce n’était pas fini. Je voyais dans les rires qui renaissaient que nous allions désormais nous battre tous les jours pour cette valeur qui était aussi notre identité. Rois d’un temps, nous étions tous les quatre de retour. Les étoiles brillaient et le soleil illuminait notre chemin. Tout était comme avant. Nous étions heureux.
Le feu destructeur prit ta vie et ta maison. Le sacrifice de ta vie pour la mienne, sacrifice volontaire. Tu m’as sauvé la vie, et pour cela, tu as payé de la tienne. J’ai entendu ce bruit assourdissant, j’ai vu ces flammes vengeresses prendre ce qu’elles estimaient leurs. Et je t’ai vu. Les quatre avaient leurs propres armes. Un talent unique qui faisait ce qu’ils étaient. Mais des quatre tu étais la gardienne de mon secret. La seule à savoir ce que les autres ne savaient pas. Et tu t’es sacrifiée pour que je puisse voir le soleil du lendemain.
Je t’écris, ou que tu sois, pour te dire que ce que j’ai perdu, je pense l’avoir retrouvé. Le nouveau gardien de mon secret m’a affirmé hier que mes craintes ne sont peut êtres pas fondées. Ou que tu sois… Sache que tu nous manques. Les trois ne sont plus que déchus. Mais nous essayons. Tu nous manques…
Il ne reste … Que des cendres d’un passé heureux.

Mercredi 22 septembre 2010 à 21:09

Dans un souffle d'été au sens irréel
Le bruissement des pleurs dans les branches ;
Le Temps et des espoirs sans ailes,
Tout s'est arrêté aux falaises blanches.

Je sentais sur mon visage cette amère brise
Et nos âmes et nos coeurs ressentaient les passions ;
Dans tes yeux je pus lire cette ultime question,
Il fallait que tu partes et la Mort t'a prise.

Désormais les ombres murmurent
Dans l'obscurité de mes rêves, tes silences passés ;
Sur le rivage j'entends le vent et l'azur,
La mer et ses vagues, mais des vagues de sang.

Oeuvre inachevée, héritage de tes sens,
Mes notes et les tiennes se mêlent à l'orage ;
Des mélodies, des valses, et ta danse,
Dans les nuées la musique sera notre dernier langage.

Que trop de mots pour trop de souvenirs
Mon âme a perdu ta lueur ;
Des espoirs des promesses, des brises de soupirs
Le vent n'a plus de but, des cristaux de coeur.

J'en ai vu des combats et j'ai vu le tien
Celui d'une femme contre son destin ;
Un Je t'aime, l'envol d'un ange et sur ta joue
La dernière larme.

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